Communiqué de presse

Les finances de l’Église : une religion en pleine croissance

En mai 2018, l’évêque président Gérald Caussé a publié, sur le site ChurchofJesusChrist.org, un article complémentaire à sa récente allocution au symposium sur l’histoire de l’Église : « Financing Faith: The Intersection of Business and Religion » (Financer la foi : au confluent des affaires et de la religion). Conjointement avec l’article et le discours de l’évêque Caussé, les documents suivants fournissent des données supplémentaires concernant les finances de l’Église.

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L’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours a un but remarquable : inviter tout le monde à venir au Christ. L’Église n’est pas une institution financière ou lucrative; elle utilise ses ressources afin de réaliser sa mission divinement décrétée. L’Église est l’intendante des dîmes et des offrandes généreuses offertes par ses membres, et elle pratique les principes qu’elle enseigne : éviter l’endettement, respecter un budget et se préparer pour l’avenir.

En suivant des principes financiers solides sur une longue période, l’Église est passée d’humbles débuts à une organisation mondiale apte à soutenir sa mission divine. Sa prospérité relative actuelle n’est que le reflet de la foi de ses membres qui obéissent à la loi de la dîme et de l’accomplissement dans leurs vies de la promesse souvent répétée du Seigneur : « Si vous gardez mes commandements, vous prospérerez dans le pays » (Alma 9:13).

L’Église utilise ses ressources afin de poursuivre l’œuvre du Seigneur de la manière suivante :

  • En partageant le message de Jésus-Christ dans le monde;
  • En construisant et en entretenant des lieux de culte pour renforcer les personnes et les collectivités (pieux, districts, paroisses et branches);
  • En fournissant de l’entraide, de l’aide humanitaire et des réponses d’urgences pour alléger la souffrance des gens et favoriser leur autonomie;
  • En faisant la promotion de l’apprentissage spirituel et séculier grâce au système d’éducation de l’Église (les programmes de séminaire et d’institut, des universités et d’autres programmes d’enseignement supérieur);
  • En construisant et en administrant des temples, et en soutenant l’œuvre d’histoire familiale afin de fortifier les familles;
  • En soutenant l’administration institutionnelle générale.

Les ressources utilisées pour mener à bien cette œuvre viennent principalement des dons de dîme des membres de l’Église. Une petite portion des fonds provient d’entreprises gérées par l’Église.

Le budget et les dépenses

Le Conseil d’affectation de la dîme de l’Église est composé de la Première Présidence, du Collège des douze apôtres et de l’Épiscopat président. Ensemble, ils établissent et administrent les politiques et les budgets orientant l’utilisation des ressources de l’Église (voir Doctrine et Alliances 120:1). Ces politiques comprennent les principes suivants :

  • Les dépenses n’excéderont pas les revenus prévus;
  • Le budget alloué aux frais de fonctionnement n’augmentera pas plus rapidement que les contributions anticipées de la dîme.

Les budgets alloués aux divers programmes de l’Église sont individuellement approuvés et les fonds sont attribués par le Comité du budget et d’affectation de l’Église, un sous-comité du Conseil d’affectation de la dîme. En outre, le Département d’apurement de l’Église, qui est indépendant de tous les autres départements de l’Église, emploie des professionnels accrédités pour s’assurer que les fonds de l’Église sont administrés et inscrits conformément aux politiques de l’Église et aux pratiques comptables.

Les réserves de l'Église

L’on enseigne aux membres de l’Église à « se constituer graduellement une réserve financière en épargnant régulièrement [une partie de leurs revenus] » (Pourvoir aux besoins à la manière du Seigneur : Résumé du guide de l’entraide pour les dirigeants). L’Église applique ce principe à ses propres épargnes et placements. En plus des réserves de nourriture et de fournitures d’urgence, l’Église met de côté des fonds chaque année pour les besoins à venir. Ces sommes sont ajoutées aux réserves financières de l’Église, notamment des actions et des obligations, des entreprises assujetties à l’impôt, des intérêts agricoles et des propriétés commerciales et résidentielles. Les placements peuvent être utilisés en période de difficultés ou pour répondre aux besoins émergents d’une religion mondiale en croissance, dans sa mission de prêcher l’Évangile à toutes les nations et de se préparer à la seconde venue de Jésus-Christ (Gérald Caussé, « Les fondations spirituelles de l’autonomie financière de l’Église », Le Liahona, août 2018).

Certains placements ont un double objectif. Par exemple, l’ancien président de l’Église, Gordon B. Hinckley (1910-2008), a déclaré ceci : « Nous estimons que de bonnes fermes représentent, sur une longue période, un investissement sûr où les actifs de l’Église peuvent être préservés et améliorés, tout en étant disponibles en tant que ressources agricoles pour nourrir des gens en cas de besoin » (« The State of the Church », Ensign, mai 1991, p. 54). Un autre exemple de cette double vocation est la participation de l’Église au développement du centre-ville de Salt Lake City. Avec ses placements dans City Creek (un projet polyvalent qui comprend des espaces commerciaux, des unités résidentielles, des bureaux et un stationnement), l’Église a amélioré les environs de Temple Square et a souligné son engagement envers Salt Lake City (en Utah) où se trouve son siège social. Cet investissement a renforcé l’activité économique locale pendant un ralentissement économique et a attiré des visiteurs et des résidents dans le centre-ville historique de Salt Lake City.

L’attribution des réserves financières de l’Église relève des dirigeants de l’Église et les fonds sont gérés par des conseillers professionnels, conformément à une intendance sage et judicieuse et à des principes modernes de gestion des placements. Finalement, toutes les sommes que rapportent les placements de l’Église sont investies pour soutenir sa mission qui consiste à inviter des âmes à venir au Christ.

Les entreprises commerciales

Bien que la vaste majorité de ses ressources financières proviennent de la dîme et des offrandes des membres de l’Église, cette dernière détient aussi des intérêts commerciaux qui l’aident à accomplir sa mission.

« Essentiellement, nous explique le président Gordon B. Hinckley, les actifs commerciaux dont dispose l’Église aujourd’hui sont le produit d’entreprises qui ont vu le jour à l’époque pionnière de notre histoire, lorsque nous étions isolés dans les vallées des montagnes de l’ouest de l’Amérique. »

Le président Hinckley a cité l’industrie de la betterave à sucre, l’hôtel Utah, des intérêts dans les médias et le marchandisage comme exemples d’entreprises de l’Église primitive. « L’Église a conservé certains biens immobiliers, a-t-il poursuivi, en particulier ceux qui sont contigus à Temple Square, pour aider à préserver la beauté et l’intégrité du cœur de la ville. Tous ces immeubles commerciaux sont des entités fiscales. » Il a expliqué que « le revenu combiné de tous ces intérêts commerciaux est relativement faible et ne permettrait pas de poursuivre nos activités très longtemps » (« Questions and Answers », Ensign, novembre 1985, p. 49).

Les impôts

Les saints des derniers jours croient que l’on doit « respecter, honorer et défendre la loi » (Articles de Foi 1:12). Par conséquent, l’Église et ses entités affiliées paient des impôts et autres prélèvements gouvernementaux, conformément aux lois de chaque pays dans lesquels l’Église est établie. Aux États-Unis, où les Églises et les autres organismes à but non lucratif sont généralement exonérés de l’impôt sur le revenu fédéral et d’État, l’Église paie des impôts sur tout revenu qu’elle tire d’activités productrices de recettes qui sont régulièrement exercées et ne sont pas étroitement liées à son exonération fiscale. Les entités affiliées à l’Église qui sont organisées comme des sociétés à but lucratif paient des impôts des sociétés, fédéraux et d’État, sur leur revenu net. L’Église et ses entités affiliées paient également des impôts fonciers sur les biens qui ne sont pas utilisés à des fins religieuses, éducatives ou caritatives, y compris les impôts sur les terrains inexploités et les propriétés détenues à des fins de placements ou commerciales. Les frais, prélèvements et cotisations du gouvernement sont payés dans le cadre de la croissance des biens de l’Église. L’Église paie également les impôts des employeurs fédéraux et des États et retient et verse les cotisations à la source des employés. S’il y a lieu, l’Église et ses entités affiliées paient les taxes de vente et d’utilisation locales et d’État.

Conclusion

L’évêque président Gérald Caussé a déclaré : « Nous sommes l’Église de Jésus-Christ, et cette Église n’a pas d’autre objectif que celui que le Seigneur lui-même lui assigne, à savoir d’inviter tout le monde à aller au Christ et à être rendu parfait en luiˮ (Moroni 10:32), en aidant [ses] membres à vivre l’Évangile de Jésus-Christ, à rassembler Israël par l’œuvre  missionnaire, à se soucier des pauvres et des nécessiteux, et à rendre possible le salut des morts en construisant des temples et en accomplissant des ordonnances par procurationˮ » (« Les fondations spirituelles de l’autonomie financière de l’Église », Le Liahona, août 2018).

Questions et réponses

  1. Comment l’Église utilise-t-elle la dîme et les autres fonds?
  2. Pourquoi l’Église a-t-elle besoin de ressources financières?
  3. Pourquoi l’Église ne publie-t-elle pas l’information financière la concernant?
  4. L’Église est-elle riche?
  5. Est-ce que l’Église paie des impôts?
  6. Quelles mesures de contrôle sont en place pour empêcher le détournement de fonds?
  7. L’Église a-t-elle des réserves de placements?
  8. Quels types de placements l’Église possède-t-elle?
  9. L’Église a-t-elle des ressources investies dans le marché boursier?
  10. Comment l’Église choisit-elle les actions et les obligations dans lesquelles investir?
  11. D’où vient l’argent de la réserve de l’Église?
  12. Pourquoi l’Église a-t-elle des réserves financières alors qu’il y a tant de besoins humanitaires non satisfaits actuellement dans le monde?
  13. Pourquoi l’Église demande-t-elle aux membres ayant des moyens limités de donner une dîme de dix pour cent sur leur revenu?
  14. Comment et quand les fonds de réserve de l’Église sont-ils utilisés?

Comment l’Église utilise-t-elle la dîme et les autres fonds? Pourquoi l’Église a-t-elle besoin de ressources financières?

L’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours a été établie pour prêcher l’Évangile et inviter tout le monde à suivre Jésus-Christ. C’est une vaste œuvre mondiale qui requiert des ressources considérables. L’Église soutient plus de 30 000 assemblées et entretient des milliers de chapelles et de lieux de culte; elle gère des centres d’emploi, des entrepôts, des centres d’histoire familiale, des séminaires et des instituts, des écoles, des universités et d’autres programmes d’enseignement supérieur, et quelque 159 temples dans le monde (et 30 autres annoncés ou en construction). L’Église supervise environ 70 000 missionnaires dans des centaines de missions humanitaires, de prosélytisme, et de service. Cette œuvre continue de croître, souvent dans des régions ayant des besoins temporels importants. Pour accomplir cette œuvre, l’Église adhère aux principes financiers qu’elle enseigne : respecter un budget, éviter les dettes, et épargner et investir pour l’avenir.

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Pourquoi l’Église ne publie-t-elle pas l’information financière la concernant?

L’Église n’est pas une institution financière ou une société commerciale. Elle n’a d’autre objectif que de prêcher l’Évangile et d’inviter tout le monde à venir au Christ. Bien que l’Église choisisse de ne pas publier de détail sur ses finances, elle fournit de l’information publique sur les principes financiers auxquels elle adhère, les contrôles financiers en place pour protéger les fonds de l’Église et la provenance et l’utilisation de ces fonds. L’Église rend aussi publiques toutes les informations financières requises par la loi.

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L’Église est-elle riche?

Occasionnellement, certaines personnes décrivent l’Église comme une organisation prospère. Cependant, la force de l’Église ne peut être mesurée par ses avoirs financiers ou ses actifs immobiliers. Comme le président Gordon B. Hinckley l’a dit : « Au bout du compte, la seule véritable richesse de l’Église est la foi de son peuple » (« The State of the Church », p. 54). La prospérité relative actuelle de l’Église ne témoigne que de la foi de ses membres à observer la loi de la dîme et d’autres principes directeurs tels qu’une vie de prévoyance et l’autonomie. Cette prospérité est fondée sur la promesse du Seigneur que « dans la mesure où vous garderez mes commandements, vous prospérerez dans le pays ». Cette promesse apparaît dans dix-huit versets du Livre de Mormon, et les saints des derniers jours croient qu’elle s’applique encore de nos jours.

En outre, certaines personnes peuvent essayer d’attribuer une valeur pécuniaire à l’Église, de la même manière qu’elles évalueraient les actifs d’une société commerciale. De telles comparaisons ne tiennent tout simplement pas la route. Par exemple, les succursales ou les points de vente d’une entreprise doivent être financièrement justifiables en tant que sources de profit. Mais chaque fois que l’Église construit un lieu de culte, le bâtiment devient un consommateur d’actifs auquel est rattachée une obligation financière qui doit être respectée grâce aux dons des membres du monde entier. La conservation et l’entretien continus, le paiement des services publics et l’utilisation du bâtiment ne peuvent être assurés que si les membres fidèles continuent de soutenir l’Église.

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Est-ce que l’Église paie des impôts?

L’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours paie tous les impôts requis par la loi. Les saints des derniers jours croient que l’on doit « respecter, honorer et défendre la loi » (Articles de Foi 1:12). Dans le monde entier, l’Église et ses entités affiliées paient les impôts applicables et autres prélèvements gouvernementaux. Aux États-Unis, où les Églises et les autres organismes à but non lucratif sont généralement exonérés de l’impôt sur le revenu fédéral et d’État, l’Église paie des impôts sur tout revenu qu’elle tire d’activités productrices de recettes qui sont régulièrement exercées et qui ne sont pas étroitement liées à son exonération fiscale. Les entités affiliées à l’Église qui sont organisées comme des sociétés à but lucratif paient périodiquement des impôts, fédéraux et d’État, sur leur revenu net. L’Église et ses entités affiliées paient également des impôts fonciers sur les biens qui ne sont pas utilisés à des fins religieuses, éducatives ou caritatives, y compris les impôts sur les terrains inexploités et les propriétés détenues à des fins de placement ou commerciales. Les frais, prélèvements et cotisations du gouvernement sont payés dans le cadre de la croissance des biens de l’Église. L’Église paie également les impôts des employeurs fédéraux et d'État et retient et verse les cotisations à la source des employés. S’il y a lieu, l’Église et ses entités affiliées paient les taxes de vente et d’utilisation locales et d’État.

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Quelles mesures de contrôle sont en place pour empêcher le détournement de fonds?

Les dirigeants de l’Église sont très sensibles au caractère sacré des ressources de l’Église et veillent de très près à ce que les dîmes et autres fonds soient utilisés avec prudence et soient protégés contre toute utilisation abusive. Quiconque est jugé coupable de détournement des fonds de la dîme ou d’autres dons sacrés est soumis à une action disciplinaire de l’Église.

La Première Présidence, le Collège des douze apôtres et l’Épiscopat président autorisent les dépenses faites à partir des fonds de l’Église. Ces hauts dirigeants tiennent conseil et prennent des décisions pour l’attribution des fonds. En outre, des professionnels accrédités effectuent des audits réguliers pour garantir le respect rigoureux des principes comptables et des politiques de l’Église. Des vérificateurs sont également appelés localement pour effectuer des audits périodiques dans les paroisses et les branches conformément aux directives et aux processus détaillés fournis par l’Église.

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L’Église a-t-elle des réserves de placements? Quels types de placements l’Église possède-t-elle?

L’Église possède des réserves diversifiées – notamment des actions et des obligations ordinaires, des participations dans des entreprises assujetties à l’impôt, des biens immobiliers commerciaux et résidentiels et des propriétés agricoles – afin de fournir un soutien financier aux activités en cours et futures de l’Église. Ces fonds sont investis uniquement pour soutenir la mission de l’Église de prêcher l’Évangile à toutes les nations et pour préparer la seconde venue du Seigneur. Certains placements, notamment les intérêts agricoles, préservent et accroissent les ressources de l’Église, mais ils peuvent également être employés pour répondre à des besoins urgents.

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L’Église a-t-elle des ressources investies dans le marché boursier?

Oui. Ces fonds font partie des réserves financières qui permettent à l’Église de répondre à ses besoins de croissance et d’administrer des programmes dans le monde. Chaque année, l’Église met de côté une partie de ses fonds pour l’épargne et les placements.

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Comment l’Église choisit-elle les actions et les obligations dans lesquelles investir?

L’Église s’efforce d’être une bonne intendante de ces ressources, et des professionnels accrédités investissent les fonds de l’Église de manière diversifiée. Des conseillers financiers professionnels sélectionnent et gèrent des placements précis.

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D’où vient l’argent de la réserve de l’Église?

La vaste majorité des activités de l’Église est financée par les dîmes et les offrandes sacrées données par les membres. L’Église dépense en fonction de ses moyens et met de côté une partie de ses fonds chaque année. L’Église adhère aux principes financiers qu’elle enseigne : respecter un budget, éviter les dettes et épargner et investir pour l’avenir.

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Pourquoi l’Église a-t-elle des réserves financières alors qu’il y a tant de besoins humanitaires non satisfaits actuellement dans le monde?

L’Église a dépensé des milliards de dollars durant les dernières années afin de combler les besoins humanitaires et d’entraide dans le monde. Nous nous attendons à ce que ces besoins continuent à augmenter avec le temps. Des sociétés à but lucratif affiliées à l’Église contribuent également à la Fondation de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, qui donne à diverses causes caritatives. Les membres de l’Église donnent de leur temps et de leurs ressources pour soutenir de nombreuses autres activités de bienfaisance. Cela fait partie de la mission divine de l’Église.

En plus de servir aux efforts humanitaires et d’entraide, les réserves financières de l’Église fournissent des ressources pour soutenir sa croissance future alors que se réalise la prophétie selon laquelle l’Évangile de Jésus-Christ sera enseigné et l’Église établie dans toutes les nations de la terre jusqu’au retour du Sauveur. Des moyens financiers sans cesse croissants sont nécessaires pour prêcher le message de Jésus-Christ dans le monde, construire et administrer un nombre grandissant de temples et de lieux de culte, et offrir des possibilités en matière d’éducation et dans d’autres domaines pour sortir les gens de la pauvreté et promouvoir leur autonomie.

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Pourquoi l’Église demande-t-elle aux membres ayant des moyens limités de donner une dîme de dix pour cent sur leur revenu?

Les saints des derniers jours croient que Dieu promet et accorde des bénédictions spirituelles et temporelles à ceux qui suivent ses commandements, y compris celui de payer la dîme. La dîme est un principe spirituel par lequel le Seigneur finance son Église. L’Église est profondément soucieuse d’aider les personnes à sortir de la pauvreté; elle consacre des ressources importantes aux programmes éducatifs, humanitaires et d’entraide pour permettre aux individus d’atteindre une autonomie personnelle. Payer une dîme complète est un acte de foi et d’obéissance aux commandements de Dieu. Ceux qui choisissent de payer la dîme témoignent souvent des bénédictions qui découlent de leur décision.

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Comment et quand les fonds de réserve de l’Église sont-ils utilisés?

Historiquement, quand les ressources se sont faites rares ou qu’il y a eu des demandes associées à la croissance, les fonds de réserve ont été disponibles pour soutenir les activités de l’Église.

Les fonds de réserve assurent l’avenir. Les réserves financières de l’Église garantissent la disponibilité des ressources pour soutenir la croissance future de l’Église alors que la prophétie s’accomplit que l’Évangile de Jésus-Christ sera enseigné et l’Église établie dans toutes les nations de la terre jusqu’au retour du Sauveur. L’Église prévoit la construction de chapelles et de temples additionnels. Les efforts humanitaires et d’entraide vont continuer d’augmenter. L’œuvre missionnaire, les besoins en éducation et les autres programmes qui profitent aux gens partout dans le monde vont demander des ressources supplémentaires. Que les fonds de l’Église proviennent des réserves ou directement de la dîme des membres, ils sont tous utilisés dans un seul objectif, celui de soutenir la mission de l’Église. C’est la seule raison d’être des fonds de réserve.

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Pour consulter cet article en anglais

Remarque concernant le nom de l’Église : Quand vous parlez de L’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, veuillez utiliser le nom complet de l’Église la première fois que vous la mentionnez. Pour avoir plus de renseignements sur l’utilisation du nom de l’Église, consultez notre Guide de rédaction.