La liberté religieuse est un des premiers droits, et l’un des plus fondamentaux, qui nous sont accordés en tant que citoyens. L’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours a soutenu la liberté religieuse depuis ses tous premiers débuts.
En 1843, le président de l’Église, Joseph Smith, fils, a dit : « S’il a été démontré que j’étais prêt à mourir pour un « Mormon », j’ai la hardiesse de déclarer devant les cieux que je suis tout aussi prêt à mourir en défendant les droits d’un presbytérien, d’un baptiste ou de tout homme bon, peu importe sa dénomination, car le même principe qui bafouerait les droits des saints des derniers jours bafouerait les droits d’un catholique romain, ou d’un membre de n’importe quelle autre dénomination qui pourrait être impopulaire et trop faible pour se défendre. C’est l’amour de la liberté qui inspire mon âme – la liberté civile et religieuse de toute la race humaine. »
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Avec l’arrivée de 25 000 réfugiés syriens au Canada au cours de la prochaine année, ouvrir nos cœurs à ceux qui ont besoin de protection contre la persécution religieuse est une occasion formidable de démontrer un amour semblable à celui du Christ.
« La plupart des religions du monde enseignent l’amour et le respect. Je crois que la religion peut élever les individus et même une société entière à un niveau supérieur, spécialement quand les gens ont la liberté de choix », a déclaré Elder G. Lawrence Spackman des Soixante-dix.
Nous avons été témoins d’un événement où des personnes de foi travaillant ensemble ont aidé la société en 2014. Plus de 300 dirigeants religieux et spécialistes représentant 14 traditions religieuses de 23 pays se sont réunis au Vatican pour un sommet sur les façons de soutenir le mariage. Le président Henry B. Eyring de la Première Présidence de l’Église a été invité à parler lors de ce rassemblement. Il a dit : « Nous devons trouver des moyens de conduire les gens vers une foi qui permettra de changer leur intérêt égoïste naturel en des sentiments profonds et durables de charité et de bienveillance » (Allocution du président Eyring lors du sommet sur le mariage au Vatican, » novembre 2014).
La foi peut fortifier une personne et, à plus grande échelle, renforcer des communautés en inculquant des sentiments de charité et de bienveillance. Permettre aux autres d’adorer – ou même de ne pas adorer – comme ils le veulent crée une société plus bienveillante.
Depuis près de 200 ans, les dirigeants mormons ont enseigné l’importance de la liberté religieuse pour tous, comme elle est énoncée dans le onzième article de foi de l’Église : « Nous affirmons avoir le droit d’adorer le Dieu Tout-Puissant selon les inspirations de notre conscience et reconnaissons le même droit à tous les hommes : qu’ils adorent comme ils veulent, où ils veulent ou ce qu’ils veulent. »